Un sujet qui pose polémique sur les réseaux sociaux est la mondialisation, et surtout l’entrée de la nouvelle technologie dans tous les pays, même les moins développés. La question qui se pose est « Est-ce que ces pays en développement ont vraiment besoin de la nouvelle technologie ? ».
Quels sont les produits à l’issue de la technologie ?
La TIC ou Technique de l’Information et de la Communication se cadre dans la production des smartphones et se charge de gérer l’Internet et de mettre en place le protocole Bluetooth, etc. Au fil du temps, la TIC s’est évoluée en NTIC et cette fois, la fibre optique, la connexion avec câble, les satellites, le Wi-Fi, etc. en font partie. Dans les pays avec une grande puissance économique, les produits de la technologie les aident à agrandir ses connaissances, à développer leur secteur industriel et économique et surtout, à assurer la compétitivité des pays de même niveau au niveau international. Chaque secteur actif dans ce pays est doté d’un œuvre de la NTIC telles que le défibrillateur intelligent, très utilisé dans le secteur médical, un tableau interactif dans les écoles, une reconnaissance faciale au milieu de l’informatique, une voiture sans conducteur dans le secteur automobile et tout ce qui active le développement dans ce pays.
Où est la place des produits technologique dans les pays pauvres ?
Les smartphones ont bien amélioré la communication des gens dans le monde, même dans les pays pauvres, grâce à l’usage de l’Internet qui est encore moins cher que le prépayé téléphonique à chaque fois. Le secteur agriculture est également doté de plusieurs matériels innovants qui leur permettent de produire plus rapidement qu’avant, avec un résultat profitable. En plus, cet appareil technologique est très facile à manier, et ne demande pas un niveau intellectuel élevé, il suffit d’un bon encadrement et le savoir-faire des pays riches peut se transmettre aux pays pauvres.
En fin de compte, le développement nécessite un changement, et cela commence par la volonté à chacun de changer d’abord.